Anecdote de la Sellerie Marti : 1

📻 “Bonjour il est 8h57, l’info est tombée..”
Chaque semaine, vous retrouverai une anecdote authentique de la Sellerie Marti, pour partager les petites histoires et grandes inspirations de l’atelier. 📕
1 : Un petit objet peut parfois porter une grande histoire.
Le tampon que j’utilise aujourd’hui dans mon atelier n’est pas un simple outil : il appartenait autrefois à mes beaux-parents, lorsqu’ils tenaient leur centre de contrôle technique. J’ai choisi de le réutiliser, non seulement pour la valeur symbolique qu’il représente, mais aussi parce qu’il incarne une philosophie qui me tient à cœur : donner une seconde vie aux choses.
Chaque geste compte. Même les plus petits objets, lorsqu’ils sont réemployés, évitent de devenir des déchets inutiles. C’est une manière simple mais concrète de préserver nos ressources et de faire un pas de plus vers un quotidien plus respectueux de la planète. 🌍 ♻️
Anecdote de la Sellerie Marti : 2
Cette anecdote de la Sellerie Marti est un peu particulière. Elle ne parle pas de cuir, de tissu ou de restauration, mais du début d’une aventure en famille.
L’année 2025 restera gravée comme celle d’un grand tournant.
En septembre, après des mois de préparatifs, de réunions et de répétitions, nous nous sommes dit “oui”. Et parce qu’un seul projet d’envergure ne suffisait pas, j’ai décidé d’y ajouter la création de l’atelier. Peut-être une petite peur de m’ennuyer ? Disons plutôt qu’ici, on aime les défis !
Durant ces mois intenses, j’ai pu compter sur le soutien indéfectible d’Alexis. Entre son travail et les nombreux coups de main qu’il a donnés pour aménager l’atelier, il a largement contribué à faire naître ce lieu.
Ce nom, désormais inscrit sur la faade, marque le début de cette nouvelle aventure !


Anecdote de la Sellerie Marti : 3
Dans le métier de sellier, il existe un petit dicton amusant que j’ai découvert lors d’une précédente expérience : le fameux « pourboire du sellier ». 💰
Ce n’est pas une pièce glissée dans la main, mais plutôt une surprise cachée dans les recoins des vieux fauteuils ou sièges que l’on restaure.
En démontant ces assises, il arrive souvent de tomber sur des pièces de monnaie oubliées, glissées là il y a parfois plusieurs décennies. Mais ce ne sont pas les seuls trésors ! J’ai déjà trouvé des boutons, des photos anciennes, et même une clé USB. À chaque découverte, l’imagination s’emballe : que pouvait bien contenir cette clé ? Qui étaient ces personnes sur la photo ? Autant de petits mystères qui ajoutent du charme à chaque restauration.
Ces trouvailles racontent une histoire, celle des objets et de leurs propriétaires, et rappellent que chaque pièce passée entre les mains des artisans selliers a vécu mille vies avant de retrouver une seconde jeunesse dans les ateliers.
